L'Homme sans bras

Af: Paul Féval

Læseprøve

Beskrivelse

Le Breton Tanneguy de Tréguern est revenu d'entre les morts il y a vingt ans. Victime de la malédiction qui dit que tout Tréguern doit mourir trois fois, il n'a pas encore recouvré la mémoire de sa vie passée.
Alors que Tanneguy est présenté aux personnalités de Paris au Palais-Royal pour assouvir leur curiosité, un avocat Breton nommé Privat prétend avoir suivi l'affaire du revenant depuis le début. Il aurait accumulé des témoignages déroutants sur les Tréguern et serait en possession de preuves capables de faire cesser la malédiction qui pèse sur la famille.

Vingt ans après les évènements d' « Une Histoire de Revenants », ce second et dernier tome est aussi noir que fantastique. Rebondissements et intrigues propres aux feuilletons du XIXe : légendes, sorcières et créatures bretonnes cultivent le mystère des Tréguern. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français et breton né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans « La Revue de Paris », et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort « Les Mystères de Londres », en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée (« Le Bossu »), 1857 mystère urbain, récit breton (« La première aventure de Corentin Quimper », 1876) ou le récit fantastique (« La Vampire », 1865).

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